Choisir un prénom pour son enfant : Gabriel
Le prénom Gabriel est un prénom mixte, il convient également aux filles même s’il est le plus souvent donné aux garçons (Gabrielle, Grabriela au féminin).
Le prénom Gabriel est un dérivé des termes hébreux “gabar” et “el” pouvant être traduit par “force de Dieu”. Dans la bible, Gabriel est l’archange qui vient annoncer la naissance de Jésus à Marie. Il est considéré comme un ange protecteur dans le christianisme, le judaïsme et l’islam. Une influence religieuse qui explique la popularité du prénom dans le monde entier et les nombreuses variantes qui existent : Gabriele, Gabrielo, Jibril, etc.
Si le prénom existe depuis le Moyen-âge, il a connu une forte popularité dans les années 1990. D’ailleurs, elle continue de croître depuis.
Personnalité des Gabriel :
Altruistes, les Gabriel sont des personnes très sociables et communicatives. Dotés d’un charme infaillible, les Gabriel ne laissent personne indifférent. Ils cherchent à profiter, un maximum, des plaisirs de la vie et ont un goût prononcé pour l’aventure. Concernant leur vie professionnelle, munis d’une grande créativité, les Gabriel auront tendance à se tourner vers les métiers artistiques ou de la commication.
En amitié comme en amour, les Gabriel sont des personnes fidèles et très généreuses. Pour les Gabriel la Famille est primordiale et la placent au centre de tout. Ils se montrent très dévoués envers les siens et romantique envers sa dulcinée.
Fête des Gabriel :
On fête les Gabriel le 29 septembre (Saint-Gabriel).
Quelques Gabriel célèbres :
L’écrivain colombien et prix nobel de littérature Gabriel Garcia Marquez, l’acteur et réalisateur irlandais Gabriel ou encore, le politicien et écrivain français Gabriel Peri.
Popularité du prénom Gabriel en Suisse :
Le prénom Gabriel, prénom ancien, a vu sa popularité grimper dans les années 1990 et fait, encore aujourd’hui, toujours partie des prénoms masculins les plus choisis par les parents.
En Suisse, le prénom Gabriel a été donné 316 fois en 2018 et 3 307 fois durant ces 10 dernières années. (Source : politologue.com)
